Articles de politique à destination de la presse
Hulot, Hollande, Valls, etc. : la France compte d'autant plus de sujets qu'elle a des sujets d'inquiétude

Il s’agit d’un livre assez épais, donc je me le suis procuré dans le monde virtuel chez Kindle pour 15,99 euros au lieu de 22. Et le prix unique du livre, s’emporte le citoyen-auteur que je suis, submergé par le consommateur fauché ! Fiche de lecture éminemment subjective. Caricature d'Anouk Depeyrot. Par Pierre-Gilles Bellin.

La loi de 2015 sur la transition énergétique l’annonçait : « la politique énergétique nationale a pour objet de réduire la part du nucléaire (…) à 50 % à l’horizon 2025 ». Novembre 2017 : sous le regard de Christophe Castaner, porte-parole du gouvernement, Nicolas Hulot le lâche : on oublie ce pan de la loi. Mais derrière, la France paraît renoncer à la transition énergétique. Explications.

A tous les lecteurs de ce site, je confie ma libre traduction du "Guide des Indivisibles", guide anti-Trump des assistants parlementaires des Congress-men américains battus par celui-ci, d'abord pour empêcher une vague brune de nous submerger, puis comme une source d’inspiration pour re-construire dès à présent notre France.

Emmanuel Macron n’était pas le candidat préféré des services secrets : ceux-ci manifestaient leurs penchants pour Nicolas Sarkozy, François Fillon ou Manuel Valls. Ils jugeaient ésotérique la possibilité que l’ancien ministre de l’économie devienne président. Emmanuel Macron pourrait-il être instrumentalisé, comme l’a peut-être été François Hollande ?

ERDF, filiale à 100% d’EDF, devenue « Enedis », réalise actuellement la pose des compteurs électriques Linky, qui se substituent à vos anciens compteurs. Ces compteurs, en fait des objets communicants, où les données passent par le courant domestique, présentent un risque sanitaire. En outre, ils risquent d'être un échec économique, et soulignent les insuffisances de la démocratie locale.

C’est François Hollande lui-même qui a élargi la faille morale dans laquelle s’est engouffrée l’extrême droite. Par avance, il a décrédibilisé le discours électoral du Parti socialiste. Il est incompréhensible à première vue que le Président de la République soit tombé dans ces pièges politiques. Mais en analysant sa façon de penser, c’est parfaitement compréhensible.

Aux primaires de gauche, votons contre Manuel Valls, servons-nous individuellement de notre "49.3" pour lui dire non et signez notre pétition. Laisser Manuel Valls représenter même une partie de la gauche aux élections présidentielles, c'est dire oui à des lois liberticides, inquisitrices, oui à une méthode économique impuissante à résoudre les problèmes de précarisation et d'inégalités.